DOUBS – LES 5 VALLÉES – ORNANS ► Roadtrip Voyageurs

SECTION 1 // ORNANS > LODS > MOUTHIER-HAUTE-PIERRE > LA SOURCE DE LA LOUE

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 2/5

• Route

• Ornans, à voir : Le Musée Courbet s’étend sur 3 superbes hôtels particuliers, 21 salles d’exposition sur plus de 2000 m². Il retrace la carrière de l’enfant du pays à travers son parcours d’Ornans à Paris, ses milieux artistiques, son engagement politique ainsi que son exil et sa mort en Suisse à travers plus de 75 œuvres de l’artiste. Ouvert tous les jours sauf le mardi : oct à mars – 9h-12h / 14h-17h + 33 (0)3 81 86 22 88 Avril, mai, juin et septembre – 10h-12h / 14h-18h. Tarifs : 4 à 12 / 2h Juillet- août – 10h-18h. Fermé les 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre

  Ornans, capitale 

• Montgesoye est un village entouré de sept fontaines

• Sur la rive droite, les coteaux abrupts étaient jadis recouverts de vignes dont une partie a été replantée en 1984.

• Lods est un village où les forges et la vigne ont longtemps rythmé la vie des habitants. De ses activités passées, le village a gardé les maisons vigneronnes et créé un musée de la Vigne et du Vin ainsi qu’un parcours ethnologique contant l’histoire de ses anciens forgerons et vignerons. Village classée parmi les plus beaux villages de France
  

SECTION 2 // LE BELVÉDÈRE DU MOINE > ARC SOUS CICON > BELVÉDÈRE DU CRÊT MONIOT > LE TUYÉ DU PAPY GABY

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 2/5

• Route

• La grotte-chapelle de Remonot est une chapelle située dans une grotte, près de la commune des Combes. C’est un site dédié à la Vierge Marie et est un lieu de pèlerinage, le 15 août en particulier. Il est fait mention de cette grotte dès le XIIe siècle mais serait utilisée comme ermitage depuis le VIIIe siècle par les ermites qui auraient évangélisés la région du Haut-Doubs. Après avoir été un ermitage, elle fut une chapelle à partir du XVIIe siècle et après 1832, date de construction d’une église non loin de la grotte, une occupation industrielle. La grotte-chapelle est consacrée en 1863. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 29 décembre 2009.
  

• Le défilé d’Entre-Roches est un canyon / gorges du Doubs d’environ 30 km, et sont d’importants escarpements calcaires le long de la route départementale 437. 
  

• Villers-le-Lac : Dans le Val de Morteau, Villers-Le-Lac, petite ville du Pays Horloger, fait face à la Suisse. Elle est traversée par la rivière du Doubs, véritable vedette avec la superbe chute du saut du Doubs de 27 m de hauteur. Cette majestueuse cascade et les bassins qui la précèdent sont reconnus comme l’un des plus beaux sites naturels de France et se visitent en bateaux, à pied, à VTT ou en calèches. Longer le Doubs sur sa rive droite à partir de l’hôtel de France, et suivre le GR 5 (balises blanches et rouges) pour se rendre au parking du saut du Doubs.
  

SECTION 3 // LA GROTTE DE REMONOT > LE DÉFILÉ D’ENTRE-ROCHES > VILLE DE MORTEAU > VILLERS-LE-LAC

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 2/5

• Route

• La grotte-chapelle de Remonot est une chapelle située dans une grotte, près de la commune des Combes. C’est un site dédié à la Vierge Marie et est un lieu de pèlerinage, le 15 août en particulier. Il est fait mention de cette grotte dès le XIIe siècle mais serait utilisée comme ermitage depuis le VIIIe siècle par les ermites qui auraient évangélisés la région du Haut-Doubs. Après avoir été un ermitage, elle fut une chapelle à partir du XVIIe siècle et après 1832, date de construction d’une église non loin de la grotte, une occupation industrielle. La grotte-chapelle est consacrée en 1863. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 29 décembre 2009.
  

• Le défilé d’Entre-Roches est un canyon / gorges du Doubs d’environ 30 km, et sont d’importants escarpements calcaires le long de la route départementale 437.
  

• Villers-le-Lac : Dans le Val de Morteau, Villers-Le-Lac, petite ville du Pays Horloger, fait face à la Suisse. Elle est traversée par la rivière du Doubs, véritable vedette avec la superbe chute du saut du Doubs de 27 m de hauteur. Cette majestueuse cascade et les bassins qui la précèdent sont reconnus comme l’un des plus beaux sites naturels de France et se visitent en bateaux, à pied, à VTT ou en calèches. Longer le Doubs sur sa rive droite à partir de l’hôtel de France, et suivre le GR 5 (balises blanches et rouges) pour se rendre au parking du saut du Doubs.
  

SECTION 4 // LE SAUT DU DOUBS > BARRAGE DU CHÂTELOT > LE BARBOUX > GRAND’COMBE-DES-BOIS

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 3/5

• Route

• Le saut du Doubs est une chute de 27 m de hauteur sur le Doubs située sur la frontière franco-suisse (Villers-le-Lac côté français, et des Brenets côté suisse). Possibilité d’y accéder en voiture jusqu’au parking au lieu dit Les Vions, puis prévoir environ 30 min de marche.

• Barrage du Châtelot : Le barrage est partagé entre le département du Doubs et le canton de Neuchâtel (Suisse) et retient les eaux du lac de Moron. Il n’est pas franchissable à pied. Un passage à gué existe plus bas sur la rivière. La gestion du barrage ainsi que l’entretien des rives du lac sont assurés par la société des Forces Motrices du Châtelot (SFMC). Sa voûte d’une hauteur de 74 m retient environ 20 millions de m³ d’eau qui permettent la production d’électricité par la centrale du “Torret” située en aval du barrage.

• Le Barboux : Le chanoine Joseph Rousselot (1785-1865), né au Barboux, fut doyen du Chapitre de la cathédrale de Grenoble. Il fut l’un des deux commissaires nommés par l’évêque de Grenoble pour effectuer l’enquête ayant conclu à l’authenticité des apparitions de La Salette. Il publia plusieurs livres pour défendre la véracité de ces apparitions.

• Grand’Combe-des-Bois : Dans le clocher de l’église se trouve un sanctuaire dédié à Notre-Dame de La Salette. Il fut bénit le 28 juillet 1863 par le chanoine Joseph Rousselot (1785-1865), doyen du Chapitre de la cathédrale de Grenoble, un des deux commissaires chargés d’effectuer l’enquête ayant conclu à l’authenticité des apparitions de La Salette. En 1887 fut érigé à l’extérieur de l’église un chemin de croix pourvu de statues grandeur nature représentant les différentes scènes de l’apparition. Depuis lors, la petite Salette de Grand’Combe-des-Bois est un lieu de pèlerinage fréquenté par les fidèles de la région, en particulier le dimanche le plus proche du 19 septembre, date anniversaire des apparitions.

SECTION 5 // FOURNET-BLANCHEROCHE > LA COMBE-SAINT-PIERRE > LE BELVÉDÈRE DE LA CENDRÉE > LE COL DE LA VIERGE

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 3/5

• Route

• Fournet-Blancheroche, à voir :

  – La ferme des Louisots (XVe – XVIe siècles), au lieu-dit les Louisots, avec sa maison-forte, autrefois

  appelée le “carré de franchise” de la famille Bouhélier.

  – La chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours, au lieu-dit les Louisots.

  – La chapelle Notre-Dame-du-Sacré-Cœur, au lieu-dit la Rasse.

  – Chez Nobis, lieu de culte clandestin des prêtres réfractaires pendant la Révolution, situé dans

  la forêt, à 400 m de la route des Cerneux-Monnots .

  – L’église paroissiale Notre-Dame-des-Victoires (XIXe siècle).

  – La mairie-école (XIXe siècle).

  – Le belvédère des Philiberts.

  – Le pont de Biaufond.

  – Le barrage du Refrain.

  – Les Échelles de la Mort

• La Combe-Saint-Pierre

  Station été – hiver : parc aventure, via ferrata, deval kart, rollerbe, mini karts électriques,

  orientation, descente VTT, sentiers VTT, sentiers de randonnée, ski alpin et nordique, raquettes,

  location de ski, patinoire..

• Le belvédère de la Cendrée

  Altitude : 990 m et 960 m

  A voir :

  – Le belvédères le Bécot et sur les Roches

  – Le point de vue sur la vallée du Doubs franco-suisse.

  – La table d’orientation.

  – L’ accès à pied (5 min)

• Le col de la Vierge

  Panorama sur la Suisse voisine.

SECTION 6 // LA CORNICHE DE GOUMOIS > VILLAGE DE GOUMOIS > SAINT-HIPPOLYTE > VALLÉE DU DESSOUBRE

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 3/5

• Route

• La corniche de Goumois Route très pittoresque dominant les gorges du Doubs et d’où l’on découvre une série de points de vues variés et magnifiques. Le charmant petit village franco-suisse de Goumois, niché au creux de la vallée, et son célèbre “rocher du singe”.
  

• Village de Goumois Traversé par un pont qui fait office de frontière et possédant un poste de douane, Goumois possède une partie française et une partie suisse. Chaque côté a sa propre administration. La rivière, frontière entre la France et la Suisse, est le lieu de pratique de diverses disciplines. L’unique stade de slalom de France entièrement naturel permet la pratique de sports à sensations fortes et des cours plus calmes permettent des belles balades de 5 à 20 km à la découverte de la nature et de la beauté des rives jurassiennes du Doubs. La vallée de Goumois constitue une destination rêvée de pêche. Le parcours de la Franco-Suisse long de 27 km sur le Doubs, émerveillera par son paysage, la pureté des eaux, l’abondance de ses truites et ombres, notamment la prestigieuse truite zébrée. Pour les amoureux de la pêche à la mouche, des zones vous sont exclusivement réservées
  

• Saint-Hippolyte C’est dans cette ville que le Dessoubre se joint au Doubs. Mais ce qui fait sans nul doute l’originalité de Saint-Hippolyte est son église qui a accueilli durant trente quatre années le linceul qui enveloppa la dépouille mortelle du Christ : le célèbre Saint-Suaire. Ce drap, aujourd’hui exposé à la chapelle royale de Turin en Italie fut déposé et vénéré ici de 1418 à 1452. Chaque année, pour la fête de Pâques, une procession était organisée sur le champ de foire sur les bords du Doubs pour que les pèlerins puissent venir se recueillir devant la célèbre relique.
  

• Vallée du Dessoubre : Célèbre pour ses parcours de pêche et sa route touristique longeant la rivière dans un cadre verdoyant.
  

SECTION 7 // ROSUREUXS > LAVAL-LE-PRIEURÉ > SÉMINAIRE DE CONSOLATION > GRANDFONTAINE- FOURNETS : LA FERME-MUSÉE DU MONTAGNON

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 3/5

• Route

• Rosureux est le village où naquit l’entreprise d’horlogerie “Prêtre et fils” en 1854 sur la rive droite du Dessoubre. Mondialement réputée cette entreprise a vendu des horloges au Brésil, en Tunisie, en Espagne, mais surtout en France et en Suisse, ceci dès le début du XXe siècle.

• Laval-le-Prieuré
  

  A voir :

  – La croix de cimetière de Laval-le-Prieuré dans le cimetière, en fer forgé, du XIXe siècle inscrite

  aux monuments historiques en 1997.

  – L’église Saint-Sulpice de Laval-le-Prieuré, du XVIe siècle inscrite aux monuments historiques en

  1926.

• Séminaire de Consolation : Succédant à un oratoire construit en 1432-1433 (reconstruit au XVIe siècle), le monastère des
  

  minimes de Consolation a été construit en 1670, avec les pierres de l’ancien château de Châtelneuf-en-Vennes, De nombreuses balades sont balisées dans le parc, pour découvrir notamment la grande cascade. Des parcours d’escalade avec une tyrolienne (la plus longue de France : 500 m de long, 120 m de

  haut) et une via ferrata aménagée entre la source du Lançot et le château fort, complètent par ailleurs des sentiers de randonnée qui permettent de rejoindre le belvédère sécurisé de la Roche au Prêtre au sommet des falaises.

  Tarif visite : 3

• Grandfontaine- Fournets : la ferme-musée du montagnon.

  Installée dans une robuste construction paysanne de 1736, la ferme-musée du Montagnon vous fera découvrir comment était agencé l’habitat traditionnel du Haut-Doubs, autour du tué ou tuyé. Dans cette grande cheminée de 25m² vous verrez sécher les salaisons comme par le passé.

  Entrée libre

SECTION 8 // LA CASCADE DE VERMONDANS > LA VALLÉE DE LA REVEROTTE – CASCADE DU VAL > PIERREFONTAINE-LES-VARANS > LES BELVÉDÈRES DU PEU À LAVIRON

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 3/5

• Route

• La cascade du moulin de Vermondans est un lieu de passage de nombreuses randonnées du secteur de Pierrefontaine-les-Varans. Elle fait partie d’un ensemble de cascades de la vallée de la Reverotte qui rejoint le Dessoubre un peu plus bas. Elle peut être aussi le but d’une randonnée pédestre à partir du pont dans la vallée. Il faut marcher alors 2,5 km sur une petite route calme pour admirer la cascade. La beauté du lieu évolue selon les saisons et les volumes d’eau disponibles. C’est une découverte à chaque nouvelle visite.
  

•  La vallée de la Reverotte – cascade du Val Admirez la cascade du Val et les différentes couleurs et couches de roches. Prenez le temps aussi de visiter les concrétions et d’admirer le tuf du bas de la cascade.
  

•  Pierrefontaine-les-Varans : Au lieu-dit Chatey sont encore visibles les vestiges d’une enceinte fortifiée dont les murailles en pierres sèches, bordées d’un escarpement et d’un fossé, atteignaient 1,40 m d’épaisseur. Dans les ruines, on découvrit au XIXème siècle une pointe de flèche en os, une pointe de javelot en fer et des débris de poteries grossières.
  

• Les belvédères du Peu à Laviron : Les collines bisontines, la vallée du Doubs, la Haute-Saône, les Vosges, le fossé rhénan, la forêt noire, la chaîne du Jura, les Alpes suisses et le Mont Blanc. On pourra apercevoir 27 clochers du département du Doubs grâce à 2 tables de lecture.
  

SECTION 9 // SANCEY-LE-LONG > LE CHÂTEAU DE BELVOIR > EOLIENNES DU LOMONT > CUSANCE : LA SOURCE BLEUE

• Distance : 329 KM

• Difficulté : /5

• Route

•  Sancey-le-Long : La basilique Sainte Jeanne-Antide : Visiter la Basilique de style néo-roman et la maison natale Sainte Jeanne-Antide Thouret, c’est partir à la rencontre d’une femme au destin unique qui fonda l’Ordre des Sœurs de la Charité. Née en 1765 à Sancey-le-Long, elle est déclarée bienheureuse par le Pape Pie XI en 1926, 100 après sa mort. Entrée libre
  

• Le château de Belvoir est un château fort du XIIe siècle. Passer son portail, c’est entrer dans l’histoire du comté de Bourgogne médiéval et de la Franche-Comté moderne. Mais c’est aussi s’ouvrir les portes de l’une des plus grandes demeures historiques meublées de la province, sauvée de la ruine à différentes époques et enfin, depuis 1955, grâce aux visiteurs. Racheté en 1955 par le célèbre peintre Pierre Jouffroy, il fera l’objet d’une longue et patiente restauration pendant près de 50 ans. Visite sur demande hors juillet, août. Tel : 03 81 86 30 34 (heures des repas) ou 06 70 28 16 52.
  

•  Eoliennes du Lomont Premier site éolien en Franche-Comté, le site éolien du Lomont comporte 15 éoliennes d’une puissance électrique de 2 MW par éolienne soit 30 MW au total. Le nombre d’heures de production par an oscille entre 7000 et 7500 soit 80 à 85 % du temps (il y a 8760 heures dans une année). Le mât mesure 80 m de haut et est composé de trois parties (la base + 2 hauteurs). Le diamètre de la base est environ 4 m. Le générateur (nacelle) pèse 70 tonnes. Les pales mesurent 42 m et pèsent 6 tonnes chacune. La hauteur totale d’une éolienne est de 125 mètres, lorsque la pale est levée. 
  

• Fonctionnement de l’éolienne : Les pâles commencent à tourner dès que le vent atteint 15 km/h. Elles sont freinées et stoppées pour des raisons de sécurité dès que celui-ci dépasse 90 km/h. La production optimale est atteinte dès lors que les éoliennes décrivent 8 tours/ minutes. Elles poursuivent leur production optimale jusqu’à 15 tours/minutes. Le site éolien a fait l’objet d’aménagements touristiques. Un « sentier-découverte des éoliennes » a été aménagé. Il est composé de sept totems ayant pour thème récurrent la montagne du Lomont déclinée sous plusieurs angles (« Le Lomont et le Vent », « Le Lomont et l’Eau », « Le Lomont et la Forêt », « le Lomont et les Energies Renouvelables », “Le Lomont sentinelle”…). A proximité de l’éolienne 5, une table d’orientation orientée vers le sud juchée sur une plate-forme aérienne en bois permet l’observation du Jura et des Alpes. En face, un second point de vue offre un très beau panorama sur le pays de Montbéliard, la Trouée de Belfort et les montagnes vosgiennes. Deux circuits de randonnées pédestres balisés y sont aussi proposés: 11 km et 13 km Visite libre tous les jours : le site est accessible depuis les communes de Vyt-les-Belvoir et Valonne (arrivé aux villages, suivre la signalisation « site éolien » ; arrivée au sommet, un parking permet de garer son véhicule).
  

• Cusance est la dernière commune à avoir été reliée au réseau d’eau courante à domicile (eau du robinet) en France, dans les années 80; Le Cusancin prend naissance sur le territoire de la localité de Cusance. Fruit de deux résurgences, il naît dans le site appelé Val de Cusance, de deux sources : la source bleue et la source noire. Dans la première partie de son cours, il adopte la direction de l’ouest, puis arrivé au niveau de Pont-les-Moulins, il effectue un quart de tour en direction du nord. Son cours comporte de nombreux méandres. Il se jette dans le Doubs (rive gauche) à Baume-les-Dames.
  

SECTION 10 // VALLÉE DU CUSANCIN > BAUME-LES-DAMES > CHÂTEAU DE VAIRE-LE-GRAND > VILLE DE BESANÇON

• Distance : 329 KM

• Difficulté : 3/5

• Route

•  Vallée du Cusancin
  Superbe vallée qui rejoint Baume les Dames

•  Baume-les-Dames A voir :

  – L’abbaye Sainte-Odile aurait été fondée au IVe siècle. Elle porte le nom de Sainte-Odile qui s’y est cachée pour échapper à son père. L’abbaye fut reconstruite au XVIIIe siècle. 

  – L’église Saint-Martin compte aujourd’hui parmi les plus beaux monuments du cœur historique de Baume-les-Dames. Elle a d’ailleurs été inscrite à l’inventaire des Monuments historiques. La première église Saint-Martin date du IXe siècle. – La chapelle du Saint-Sépulcre : elle a été construite en 1540 par un Baumois : le chanoine Pignet, dans le but d’accueillir les paroissiens pestiférés.

  – Jouffroy d’Abbans (1751-1832), natif de Baume-les-Dames, est l’inventeur des premiers bateaux à vapeur dont le premier fut essayé sur le bassin de Gondé de Baume-les-Dames. 
  

• – L’église abbatiale du XVIIIe siècle constitue un précieux témoignage du passé religieux de Baume-les-Dames. L’édifice fut construit par Nicolas Nicole et témoigne à la fois du talent reconnu de l’architecte et du goût raffiné des religieuses pour les matières nobles. Donnant son nom à la ville, cette abbaye lui a donné une richesse certaine en accueillant des religieuses des familles les plus illustres.

  – Le site Carrier : vaste ensemble artisanal regroupant des carrières, cabanes de carriers, plates-formes de taille, couloir de schlittage, zone de stockage et quai de chargement. Ce site étonne par son organisation en zone pentue et surprend par son étendue. Une signalétique mise en place permet la découverte de ce site exceptionnel et d’en percer tous les secrets d’exploitation de la pierre. Visite libre et gratuite toute l’année sous la responsabilité du visiteur.
  

•  Le château de Vaire-Le-Grand est un château du XVIIIe siècle de style Classique construit en 1713 dans la vallée du Doubs. Le château et le jardin à la française, protégés au titre des monuments historiques, ont été remarquablement restaurés et sont ouverts au tourisme durant l’été depuis 1992.
  

•  Ville de Besançon : Établie dans un méandre du Doubs, la cité joue un rôle important dès l’époque gallo-romaine sous le nom de Vesontio. Sa géographie et son histoire spécifique ont fait d’elle, tour à tour, une place forte militaire, une cité de garnison, un centre politique et une capitale religieuse. Proclamée première ville verte de France, la capitale comtoise jouit d’une qualité de vie reconnue. Grâce à son riche patrimoine historique et culturel et à son architecture unique, Besançon possède un label Ville d’Art et d’Histoire depuis 1986 et ses fortifications dues à Vauban figurent sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco depuis 2008.