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ROAD TRIP – Les voyages de la communauté

LE HAUT DOUBS, LES SOURCES, LES BELVÉDÈRES, LES LACS – MALBUISSON ► Roadtrip Voyageurs

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LE HAUT DOUBS, LES SOURCES, LES BELVÉDÈRES, LES LACS – MALBUISSON ► Roadtrip Voyageurs

Distance : 265 KM

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Difficulté : 3/5

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Beauté des paysages : 2/5

L’OFFICE DU TOURISME DU DOUBS T’EMMENE EN BALADE

Cette balade vous fera découvrir le toit du Doubs, sa source et celles de la Loue et du Lison ainsi que les lacs Saint-Point et de Remoray. 

Illustration du voyage

POURQUOI JE VEUX T'EMMENER LÀ-BAS ?

Les étangs et tourbières de Frasne, de nombreux belvédères impressionnants et des vallées verdoyantes agrémentent ce parcours.

EN CHIFFRES

Autre

Environ 6h

Pour 265 kilomètres

Autre

1414 mètres

Maximum d'altitude

Autre

4858 mètres

de dénivelé cumulé positif

Autre

-4977 mètres

de dénivelé cumulé négatif

LES SPOTS À NE PAS MANQUER

BON À SAVOIR

LE ROAD TRIP

SECTION 1 // PORT-TITI > VILLAGE DE OYE-ET-PALLET > LE CHÂTEAU DE JOUX > LE FORT MAHLER

  • Distance : 265 KM

  • Difficulté : 2/5

  • ROUTE

  • Port-Titi est un hameau au bord du lac avec quelques cabanons construits par des amis pêcheurs au début du XXe siècle. Ce petit port a conservé ses cabanes de pêcheurs au bord de l’eau. En prime, barque et tradition de la pêche sont toujours vivaces. En hiver, le lac peut complètement geler et devient une patinoire naturelle. En été, on peut bien sûr s’y baigner. Pourquoi ce nom ? C’est Maurice-Maire Sebille, dit « Titi » qui a donné son nom au hameau. Cet habitué de la pêche au brochet est le premier à avoir construit sa maisonnette de bois sur la berge, en 1902.  

  • Visiter le village de Oye-et-Pallet et son église paroissiale Saint-Nicolas, construite en 1712 sur les bases d’une église ancienne datée de 1494, et son superbe clocher-porche de 1749. Retable réalisé en 1716, comportant un tableau non signé représentant Saint-Nicolas.  

  • Le château de Joux vous accueille au coeur d’un site d’exception. Au cours des dix siècles de son histoire, le château n’a cessé d’être reconstruit, agrandi et complété :

    il est aujourd’hui composé de cinq enceintes et s’étend sur deux hectares, sans compter le complément défensif offert par les forts du Larmont inférieur et supérieur, construits face au château.

    – Toussaint Louverture, ancien esclave né en 1743 dans une plantation de l’île de Saint-Domingue (Haïti), prit la tête de la révolte des esclaves contre les colons blancs en 1791, soutenu par les espagnols. Il fut enfermé au Château, où il mourut le 7 avril 1803, à 60 ans.

    – Mirabeau y fut tout emprisonné en 1775. Temps de visite : 1h30. Tarif : 7.50

  • Le fort Malher est un fortin militaire construit au XIXe siècle. Il fait partie du système Séré de Rivières, surplombant le village de La Cluse-et-Mijoux à 1 032 m d’altitude. Il avait pour mission de protéger le fort de Joux, de renforcer la défense du passage de la cluse, d’appuyer les actions menées par les troupes sur le sommet du Larmont.

    L’ensemble est un fortin sans bastion qui fait partie d’un ensemble défensif comprenant également :

    Le fort du Larmont supérieur (dit fort Catinat),

    – Le fort de Joux (dit château de Joux),

    – Le fort de Saint-Antoine (dit fort Lucotte).

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SECTION 2 // PONTARLIER > LE BELVÉDÈRE DU MOINE > OUHANS ET LA SOURCE DE LA LOUE > LES GORGES DE NOAILLES

  • Distance : 265 KM

  • Difficulté : 2/5

  • ROUTE

  • Centre commercial, industriel, culturel et touristique du haut-Doubs, Pontarlier, située à plus de 800 m d’altitude, est la deuxième ville la plus haute de France après Briançon. Elle connaît une renommée mondiale pour son absinthe (dont elle est la capitale), réintroduite depuis décembre 2001, mais aussi pour son apéritif anisé « Le Pontarlier ». Elle se situe sur l’itinéraire franco-suisse de la Route de l’absinthe. Elle fait également partie du réseau des Plus Beaux Détours de France. La ville possède plusieurs parcs fleuris (le Grand Cours, la place Clémenceau notamment) et des monuments, telles la porte Saint-Pierre (un arc de triomphe surmonté d’un « haut » clocher), la chapelle de l’Espérance, l’église Saint-Bénigne témoignant de l’histoire de Pontarlier durant le Moyen-Âge. Le château de Joux, situé à proximité, est l’un des hauts lieux de l’histoire féodale et militaire du haut-Doubs.  

  • Le belvédère du Moine : deux belvédères perchés sur une falaise qui plonge dans un vide de plus de 300 m, dominant les Gorges de Nouailles, la vallée de la Loue et son chapelet de villages jusqu’à Ornans d’un côté, et sur Pontarlier de l’autre. Points de vue incontournables. Retour à La Main par le même trajet, puis retour à Ornans par D 67.  

  • Se rendre au parking de la source de la Loue à Ouhans. Dans un site grandiose, au pied d’une majestueuse falaise, jaillit la source de la Loue. Jaillissant d’une caverne large de 60 m et haute de 30 m creusée dans une paroi surplombante de plus de 100 m de hauteur, la source de la Loue n’est autre qu’une majestueuse résurgence du Doubs. Cette rivière puissante qui sort des entrailles de la terre est l’un des plus beaux exemples de résurgences en Europe. Un sentier aménagé de 500 m vous conduira du parking au pied de la résurgence. La Maison de la Source vous accueille tous les jours du 1er juillet au 31 août de 10h30 à 18h30 avec son Point Information et la projection d’un film “Pays Courbet, Pays d’Artiste”, qui vous permettra de comprendre la géologie du lieu et la relation qu’entretenait le peintre avec sa région.  

SECTION 3 // MOUTHIER-HAUTE-PIERRE > LODS > POINT DE VUE DU TEMPS – REUGNEY > BOLANDOZ

  • Distance : 265 KM

  • Difficulté : 2/5

  • ROUTE

  • Mouthier-Haute-Pierre fabrique du kirsch de la marsotte, et brasserie de bières “entre 2 mondes”. Village encaissé, situé au départ des gorges de Nouailles.  

  • Lods : Traverser le pont après l’hôtel de la truite d’Or qui enjambe la Loue pour découvrir “un des plus beaux village de France”. Visite du musée de la vigne et du vin.  

  • Point de vue du Temps – Reugney : Superbe panorama sur la chaîne des Alpes par temps clair.  

  • Il existe trois « fontaines » (nom donnés aux lavoirs – abreuvoirs) à Bolandoz. La fontaine Marianne, (située dans la grande rue à l’intersection des routes menant à Reugney, Nans-sous-Sainte-Anne et Flagey) est de loin la plus belle. Elle a été construite au XIXe siècle par l’architecte Sauterey. La borne d’arrivée d’eau de cette fontaine, placée au centre d’un bassin servant d’abreuvoir, porte la date de 1875, à l’arrière s’élève un lavoir couvert dont les caractéristiques (bassin rectangulaire, colonnades d’ordre Toscan en façade) relève d’un type très répandu dans le nord de la Franche Comté.  

SECTION 4 // LA CHAPELLE NOTRE-DAME-DES-AVENTURES > DESERVILLERS > LE BELVÉDÈRE DE MONTMAHOUX > LE PONT DU DIABLE – CROUZET-MIGETTE

  • Distance : 69 KM

  • Difficulté : 3/5

  • ROUTE

  • La chapelle Notre-Dame-des-Aventures a été construite sur le site d’une ancienne maladrerie, et abrite une statue de Notre-Dame-des-Aventures datant du XVe siècle.  

  • Déservillers s’enorgueillit de posséder la plus ancienne coopérative fruitière connue au monde. Sa création est attestée par des chartes de commerce possédées par la grande famille de Chalon, qui possédait les salines de Salins (Jura) à 20 km de là et un château à Montmahoux. Les Chalon distribuaient le sel, commercialisé aux paysans du plateau pour confectionner des fromages vendus ensuite dans leur réseau. Notamment dans les régions où l’on avait besoin de produits non périssables pour les voyages au long cours, en particulier les navigateurs rochelais, espagnols et portugais dès la fin du XIVe siècle. Mais le commerce est aussi attesté avec l’Italie au Moyen-Âge. 1273 est la date officielle de fondation de cette fruitière.  

  • Le mont Mahoux est le symbole du village. D’un point de vue historique : c’est à son sommet que Jean de Châlon décide d’y bâtir un château fort grâce à sa position stratégique (garde des « routes du sel », panorama exceptionnel pour surveiller une vaste partie de son territoire, …) D’un point de vue touristique : Montmahoux offre un panorama exceptionnel s’étendant jusqu’au mont Blanc. Et d’un point de vue humain : cette butte est un symbole identitaire indéniable pour chacun des R’lavoux. Il est porteur d’histoires personnelles ou collectives, de légendes et autres mythes, … La croix qui trône au haut du mont a été érigée en juin 1914 en souvenir du jubilé constantinien célébré l’année précédente par l’église.

  • Le pont du diable – Crouzet-Migette. Construit de 1875 à 1880, il enjambe le canyon du Petit Lison entre Sainte-Anne et Crouzet-Migette avec une vue très impressionnante sur la vallée. Il fait l’objet d’une légende célèbre : pour édifier une passerelle sur le ravin qui domine le torrent de près de 25 m, l’entrepreneur Babet fut en proie à de graves difficultés techniques. Chaque nuit, elle s’écroulait, mais le Diable qui guettait lui acheta son âme et consolida l’édifice, réclamant en plus l’âme de la première personne de passage sur le pont. Ce fut le curé du village qui, élevant son ciboire, chassa le Diable au fond du ravin le faisant disparaître à tout jamais. Ce qui explique la tête de diable sculptée sur la clef de voûte.

SECTION 5 // LA SOURCE DU LISON > NANS-SOUS-SAINTE-ANNE : LA TAILLANDERIE > LE MONT POUPET > SALINS-LES-BAINS

  • Distance : 265 KM

  • Difficulté : 3/5

  • ROUTE

  • Le Lison est un affluent de la Loue. Ses sources, très spectaculaires, sont situées à 2 km du village de Nans-sous-Sainte-Anne et offrent une très agréable promenade. Sa grotte, la cascade (jamais tarie) qui en jaillit, les couleurs bleu vert en toute saison, en font un lieu de visite des plus appréciés. La source n’est jamais tarie, un débit de 30 m³/s a déjà été constaté. A voir aussi à proximité la grotte Sarrazine et le Creux billard.  

  • Nichée dans une vallée verdoyante du Doubs, la Taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne, ferme-atelier fabriquant des faux et des outils taillants, a été fondée en 1798. En activité jusqu’en 1969, elle a longtemps été l’un des plus importants sites de production de faux et outils taillants de France.

    La visite permet de comprendre la fabrication d’une faux, ou comment le fer se transforme grâce à la force de l’eau et au génie de l’homme. Primée au concours national des Chefs-d’oeuvre en péril, la Taillanderie représente un témoignage du patrimoine architectural et technique régional de première importance. Depuis 1984, la totalité de la Taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne est classée au titre des Monuments Historiques. Tel : 03 81 86 64 18 Site web : www.musees-franchecomte.com/ Temps de visite : 1h15. Tarif : 6.50

  • Le mont Poupet est une montagne s’élevant à 851 m d’altitude. Il est situé sur le territoire des communes de Saint-Thiébaud, Salins-les-Bains et Ivrey. Le sommet se trouve au lieu-dit le Signal, sur la commune de Saint-Thiébaud. Le mont domine la vallée de la Furieuse dont il offre un beau panorama. Le mont Blanc y est bien visible par temps clair. D’autres points de vue intéressants existent, donnant notamment sur la plaine doloise. Une croix et une table d’orientation ornent la face sud du mont.

  • Salins-les-Bains : La ville possède une histoire glorieuse due à un passé industriel florissant de production du sel, appelé « l’or blanc ». À partir du XIXe siècle, elle étend son activité industrielle grâce au développement de plâtrières, de scieries, et surtout de faïenceries. Elle s’engage dans le tertiaire avec la création d’un établissement thermal. La seconde moitié du XXe siècle voit la disparition progressive de ces industries : la plâtrière ferme en 1958, la saline en 1962 et les faïenceries en 1995. Depuis, la ville compte un peu moins de 3 000 habitants, et fonde sa difficile reconversion économique sur les services, en particulier à travers trois secteurs : la santé, le thermalisme et le tourisme. Ce dernier s’appuie notamment sur la restauration et la valorisation d’un patrimoine historique riche et prestigieux marqué par l’inscription de la Grande saline de Salins-les-Bains sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco le 27 juin 2009, en extension de la Saline royale d’Arc-et-Senans.

SECTION 6 // VILLERS-SOUS-CHALAMONT > FRASNE > TOURBIÈRES DE FRASNE > BONNEVAUX

  • Distance : 265 KM

  • Difficulté : 3/5

  • ROUTE

  • Villers-sous-Chalamont : Situé sur la Voie Romaine reliant Salins à Jougne, les moines construisirent l’abbaye de Goailles, dont il reste une chapelle située dans le cimetière. L’église a été reconstruite en 1855 et 3 fontaines sont en service. Un large passage avait été créé dans le roc afin de pouvoir contrôler la route de Salins, une voie romaine passait à cet endroit à travers la forêt de Maublin.  

  • A voir à Frasne :

    – Les tourbières de Frasne : réserve naturelle régionale des Tourbières de Frasne-Bouverans

    – L’ancienne chapelle du XVIIe siècle (qui dépendait de la Grange de Cessay)

    – L’ancienne “chapelle de l’Étang”, au lieu-dit “ancienne scierie de l’Étang”, au bord de l’étang de Frasne, sur la route de Bonnevaux. Cette chapelle fait partie d’un ensemble de maisons et bâtiments d’usine (scierie) construit aux alentours de 1930 constituant le lieu-dit ” hameau de la scierie” (appellation cadastrale), rebaptisé récemment “hameau de l’étang”.

  • Autrefois exploitée pour fournir du combustible à la population, la tourbe s’est accumulée sur des épaisseurs atteignant 5 m par endroit à raison de 3 à 5 cm par siècle. La commune de Frasne a souhaité protéger ses tourbières à partir des années 80 en créant en 1986 la réserve naturelle volontaire des tourbières de Frasne. Celle-ci a été déclassée en 2002 à la suite de la loi « démocratie de proximité ». La procédure de reclassement a abouti en 2014. Le site est aménagé avec un sentier sur pilotis pourvu de panneaux d’interprétation. Il est fréquenté par 15 à 20.000 visiteurs par an.

  • A 6 km de Frasne est situé le charmant village de Bonnevaux traversé par le Drugeon (un affluent du Doubs). A l’entrée du village,sur la droite, une ancienne ferme comtoise a gardé son cachet d’autrefois. Cette ferme, appelée La Pastorale, peut être visitée tous les jours (se renseigner).  

SECTION 7 // LE PARC POLAIRE > MOUTHE > LE MONT D’OR > LES LONGEVILLES-MONT-D’OR

  • Distance : 265 KM

  • Difficulté : 3/5

  • ROUTE

  • Le Parc Polaire, une surprenante rencontre avec le monde animal « Ce n’est pas un zoo, ce n’est pas non plus une réserve, c’est simplement un parc animalier d’un genre étonnant et séduisant … Dans un paysage jurassien qui forcément fait penser au GrandNord, on ne reste pas derrière une clôture à contempler de loin les cerfs élaphes, les rennes, les yacks, les mouflons, les chamois, les aurochs, les daims, les bisons d’Europe, les chevaux tarpan, non, on va à leur rencontre. Ici, la visite qui ressemble en certains endroits du domaine à une vraie balade dans la nature, se fait obligatoirement en compagnie d’un guide… » Une équipe de soigneurs-guides passionnés vous fera découvrir l’histoire et les origines de ses protégés, une immersion totale dans l’intimité de la faune eurasienne dans ce parc où l’animal est roi, où la complicité entre les espèces fascine les petits comme les grands.  

  • Mouthe, village de moyenne montagne, fait partie du parc naturel régional du Haut-Jura. Il est particulièrement renommé pour détenir le record de la température la plus basse jamais enregistrée en France avec -36,7 °C relevés officiellement en 1967. Cette région particulièrement froide lui a valu le surnom de Petite Sibérie. A voir : – La source du Doubs : les pluies de la région de Mouthe sont collectées par un immense réseau souterrain et la rivière apparaît à Mouthe au fond d’un ruz. La cavité d’où jaillit l’eau est un lieu de mystère. La température de l’eau n’excède pas les 6°C et le courant est fort. Le rocher est formé de couches de calcaire, roche friable et sensible à l’érosion de l’eau .Certaines couches se creusent sous l’action du gel. Le site naturel de la source du Doubs est inscrit à l’Inventaire des sites naturel du Doubs. Le respect des lieux (calme, propreté) permettra d’en préserver les attraits en cheminant uniquement sur le sentier. – L’hôtel de ville de Mouthe, bâtiment surprenant construit après l’incendie de 1849 sur des plans de Pierre Marnotte, est inscrit à l’inventaire des monuments historiques en 1990. – L’église paroissiale de l’Assomption a été construite de 1732 à 1742 par Jean-Pierre Galezot et elle est inscrite aux monuments historiques depuis 2009. – L’ancienne pierre des redevances, sur la place de l’église a été inscrite aux monuments historiques en 1931. – Plusieurs fermes anciennes sont également à l’inventaire du patrimoine, dont la demeure dite de la Bouverie (XVIIe ou XVIIIe siècle), ainsi que le presbytère construit en 1753.

  • Le mont d’Or, point culminant du Doubs au coeur des montagnes du Jura est proche de la frontière franco-suisse. Il est un « must » en matière de belvédère. Situé à 1463 m d’altitude, il offre un point de vue d’exception à 360° sur la chaîne des Alpes ainsi que sur les plateaux du Jura.  

  • Les Longevilles-Mont-d’Or.  

SECTION 8 // MÉTABIEF > FORT SAINT-ANTOINE > TOURBIÈRES DE FRASNE > REMORAY-BOUJEONS

  • Distance : 265 KM

  • Difficulté : 3/5

  • ROUTE

  • Métabief est une station de montagne du haut-Doubs qui s’étend sur 576 hectares, à 1 000 m d’altitude, et qui connaît une activité tant en hiver (ski alpin avec 42 km de pistes situées autourdu massif du mont d’Or, ski de fond, raquettes de neige…) qu’en été (randonnée, VTT…). C’est la plus grande station du massif du Jura. A voir :

    – La fromagerie Sancey-Richard : on l’appelle aussi fromagerie du mont d’Or (sommet de la station de Métabief, 1463 m d’altitude). Garant de la tradition, on y trouve le comté, le morbier, la raclette et le mont d’Or, selon un savoir-faire familial apporté de génération en génération.

  • Construit en 1880, le fort de Saint-Antoine situé à 1 100 m d’altitude, est un ancien fort militaire réaménagé en 1966 en caves d’affinage de comté, spécialité de notre région. Ces caves qui abritent plus de 100 000 meules de comté sont surprenantes et riches en histoire. Visites possibles sur réservation, auprès de l’office de tourisme.  

  • Véritables joyaux de la nature, les tourbières de Frasne ont été aménagées, dans le respect de l’environnement, pour proposer une découverte de grande qualité, en toute sécurité. Le site est aménagé avec un sentier sur pilotis pourvu de panneaux d’interprétation. Le site est désormais classé “Réserve naturelle régionale” et s’étend sur plus de 150 hectares. Il offre une grande diversité de milieux humides, du bas-marais à la tourbière vivante jusqu’à la tourbière boisée  

  • Remoray a donné son nom au lac de Remoray, situé au sud du lac de Saint-Point dans la vallée des deux lacs sur la commune de Labergement-Sainte-Marie. Ce lac fait partie de la réserve naturelle nationale du lac de Remoray. L’ancien presbytère de Remoray, restauré en 1835 par l’architecte Pompée, est en cours de conversion en maison du patrimoine. Il abrite un papier peint panoramique classé, datant des années 1830 et représentant l’histoire de Joseph. Le presbytère est bordé par un jardin de curé. Un tableau dans l’église représentant la nativité de la Vierge, datant sans doute de la fin du XVIIIe siècle, et dont l’auteur est resté anonyme, a pu s’inspirer d’une nativité de la Vierge du peintre espagnol Murillo, du XVIIe siècle, conservée au musée du Louvre. À noter également une statue de la Vierge à l’Enfant, sans doute du XVIIe siècle. Plusieurs blockhaus construits par les Français avant 1939 au titre de la ligne Maginot, secteur fortifié dit « du Jura », se trouvent encore sur le territoire de la commune  

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